Tant qu'il y aura des libraires...

En devenant romancier, je sais que le chemin qui me mènera à mes lecteurs sera long et difficile. Et il passera nécessairement par les libraires ! Ce sont eux (et les maisons d'édition également) qui mettent en avant les auteurs et qui conseillent leurs clients. Bien sûr, ils n'ont pas le temps de lire tous les ouvrages qu'ils reçoivent chaque semaine (entre 50 et 200 en moyenne) et ils feront confiance à des valeurs sûres.

Un primo-romancier (a fortiori en auto-édition) devra rivaliser d'inventivité pour se rendre visible. Salons du livre, séances de dédicaces, rencontres avec des libraires ou des médiathèques, communication sur les réseaux sociaux, contacts avec les bookstagrammers et les rédacteurs de blogs littéraires.

Ce travail en aval de l'écriture peut paraître parfois fastidieux, mais il permet d'aller à la rencontre de ceux qui me liront. Avec quelques beaux échanges à la clé.

Et le jour où un éditeur décidera de me faire confiance, je n'oublierai pas ces libraires qui sont d'incroyables partenaires.

Un clin d'oeil à la librairie L'Écriture de Vaucresson, qui m'a donné ma chance. Et je suis impatient de faire bientôt une tournée des libraires pour partager avec eux les histoires que je mets en scène.